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Uranium mon amour

Mis à jour le 25 février 2021

Mais non, mais non, ce n’est pas une obsession ; juste le hasard des événements…

Depuis hier, j’entends parler de cette fuite d’uranium sur le site de Tricastin « pas grave, seulement de classe 1 sur 7 » mais, tout de même, la population ne doit plus boire l’eau du robinet, ni se baigner, ni arroser les cultures. Pas mal d’inconvénients pour un incident si bénin. Si bien que, pour écrire ma petite chronique, je me rue sur Internet pour vérifier quelques infos. Quelle ne fût pas ma surprise !

Sur le site lefigaro.fr : Centrale de Tricastin : la fuite moins importante que prévu.

Sur liberation.fr : Le rejet d'uranium à Tricastin moins important qu'annoncé.

Dernière vérif sur le site de 20 minutes et, là, une info de taille est ajoutée sur la Une : «… selon Areva » !

Bon sang, mais c’est bien sûr…
La fuite ayant eu lieu dans une installation de la société Socatri (Areva), nous pouvons raisonnablement penser que la déclaration du porte-parole de cette même entreprise n’est peut-être pas exempte d’un soupçon de partialité. Non ? Vraiment non ? C’est vrai que la France est le pays des miracles, avec des barrières magiques anti-nuages radioactifs.
Bien entendu, je suis de mauvaise foi : ces données ont été confirmées par l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN), autorité administrative indépendante.
Prions pour qu’ils soient réellement indépendants, hors de l’influence des lobbys et du gouvernement qui tient tant à vendre de l’EPR au reste du monde…


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Muriel Berthelot

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