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Le jonc de mer : issue de plantes aquatiques, cette fibre résistante est facile à entretenir. Elle doit juste être humidifiée régulièrement avec une serpillière pour conserver son élasticité et sa brillance.
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Le sisal : issu de l’agave, il provient de Tanzanie, du Kenya… Il est plus sensible aux taches que le jonc de mer.
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Le coco : sous-produit de la culture du cocotier, cette fibre très résistante est imputrescible et antibactérienne. Son aspect est plus rêche au toucher que le jonc de mer et le sisal.
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Le jute : plus fragile et plus chère, cette fibre aux trames variées est aussi plus douce que le jonc de mer ou le coco. À privilégier dans les chambres plutôt que dans les pièces soumises à de nombreux passages.
Cet article est extrait du livre de Catherine Levesque, Ma maison écologique, paru en 2008 aux Editions Eyrolles.
