Partenaire
Inspirer, Faire du bien

Diversification

Diversification : l'alimentation bio du bébé de 16 à 36 mois

Mis à jour le 25 février 2021
Relier les aliments que consomment les enfants avec leur origine est important.

Partenaire

Alimentation du bébé de 16 à 36 mois

Quand l'enfant s'approprie les aliments
Ainsi, même lorsque l’enfant est très jeune, pourquoi ne pas le laisser vous observer lorsque vous cuisinez pour lui. Il pourra ainsi voir la forme de l’aliment qui finira dans son assiette.
Et progressivement, au gré de vos promenades ou de vos lectures, il replacera ces aliments dans leur environnement naturel. De même, respecter les saisons lorsque vous cuisinez, c’est d’une certaine manière, rester connecté à la nature.
Et ne croyez pas qu’en hiver vous n’aurez pas assez de choix pour les purées de votre bambin. Il n’y a pas que les poireaux, carottes ou pommes de terre. Vous avez le choix avec les épinards, la patate douce, la multitude de courges, le céleri, les navets et en été le fenouil, les courgettes, les poivrons, les blettes… Tout un programme !  
Répartition des menus

  • Matin : lait maternel ou biberon de lait bio.
  • Midi : purée de légumes (+ 1 c. à café d’huile de colza) + 30 g viande ou de poisson ou 1/2  jaune d’oeuf + fruit cuit.
  • Goûter : fruit cru très mûr + 1 yaourt (brebis, chèvre, vache) ou fromage blanc.
  • Soir : soupe de légumes + lait maternel ou biberon.
C’est la grande valse des aliments

À partir d’un an, l’enfant mange de tout, du moment que ce soit émincé.
Éviter toutefois les sucreries et boissons sucrées, les friandises de toutes sortes.
À partir de 1 an, on peut préparer le même repas pour toute la famille,on adaptera juste la taille et la présentation de la portion pour le jeune enfant.
C’est le moment où l’enfant commence à devenir progressivement autonome. Continuer bien sûr à l’aider tout en l’encourageant à manger seul, même avec les doigts !
Témoignage

« (…) Je les ai éduqués dans le respect de la nourriture ou de celui qui se trouve être à l'origine de ce qu'il mange, avec un discours du style : "qu'est-ce que va penser le jardinier qui a passé tant de temps à semer ses carottes et à les replanter les arroser et les cueillir pour qu'un petit enfant comme toi puisses avoir de bonnes vitamines dans sa purée" et en général cela marchait bien, parce que même si le goût ne leur plaisait pas, ils déplaçaient leur attention sur autre chose que leur plaisir immédiat en pensant peut-être à un autre plaisir qui serait celui d'être en relation avec le lapin ou le jardinier…».

Stéphanie, maman de Clarence 10 ans et Eva Rose 5 ans
Amandine Geers et Olivier Degorce

Découvrez FemininBio Magazine en version papier ou PDF ! Achetez nos éditions depuis notre boutique en ligne.

Partenaire

Vous aimerez peut-être

Coups de cœur

Chaque semaine, des partages conscients et inspirants dans votre boîte mail.

Inscrivez-vous gratuitement !

Partenaire