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Sport, phytothérapie, micronutrition... Les solutions naturelles pour mieux vivre avec le SOPK

Le syndrome des ovaires polykystiques au naturel
Ava Sol / Unsplash
Editions Jouvence
Par Editions Jouvence
Publié le 02 juin 2022

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est la maladie hormonale la plus fréquente chez les femmes en âge de procréer, qui touche 5 à 10% de la population féminine. S'il n'existe, à ce jour, aucun traitement spécifique, des méthodes inspirées de la naturopathie peuvent aider les femmes qui en souffrent à en atténuer les symptômes.


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Le syndrome des ovaires polykystiques est l’un des troubles hormonaux les plus répandus chez les femmes. C’est d’ailleurs la première cause d’infertilité chez les femmes en âge de procréer. Il toucherait 1 femme sur 10 soit à peu près la même prévalence que l’endométriose.

Souvent perçu comme un syndrome qui crée uniquement des troubles de la fertilité, le SOPK occasionne également de multiples complications pour la santé des femmes : diabète, surpoids, obésité, dépression, risque de cancer de l’endomètre, interruption spontanée de grossesse, mais aussi acné, pilosité excessive … Actuellement il n’existe pas de traitement spécifique du SOPK mais uniquement des traitements anti-symptomatiques. La naturopathie ainsi que de nombreuses autres techniques naturelles peuvent offrir une aide précieuse pour aider les femmes atteintes par ce syndrome.

L’organisation mondiale de la santé définit la naturopathie comme étant un « ensemble de méthode de soins visant à renforcer les défenses immunitaires de l’organisme par des moyens considérés comme naturels et biologiques ». Pour faire simple, la naturopathie c’est l’art de rester en bonne santé via des techniques naturelles comme l’alimentation, la micronutrition, la phyto-aromathérapie, les techniques de gestion du stress, le mouvement et l’activité physique.

1. L’alimentation et la micronutrition

L’alimentation est un volet primordial dans le cadre du SOPK car ce syndrome occasionne souvent une résistance à l’insuline et à terme, un risque de développer un surpoids, une obésité voire un diabète de type 2.

Ainsi, au niveau de l’assiette l’accent devra être mis sur une alimentation la plus brute et naturelle possible en évitant la consommation de produits transformés, mais aussi sucrés. L’idéal : consommer un maximum de légumes, des protéines de qualité et des céréales complètes en privilégiant celles à index glycémique bas sans oublier les bonnes sources de matières grasses (huiles végétales, graines, avocat, petits poissons gras, oléagineux).

Par ailleurs, certaines vitamines, et minéraux, nécessaires à l’équilibre hormonal (comme le magnésium, le zinc, les vitamines B, les antioxydants …) devront également être apportées via l’alimentation ou des compléments alimentaires.

2. La phytothérapie

La phytothérapie regroupe différentes spécialités comme l’herboristerie, la gemmothérapie, l’aromathérapie ou encore l’homéopathie. Que ce soit pour corriger certains troubles comme les règles douloureuses ou abondantes, ou encore pour mieux gérer son stress, ou ses pulsions de sucre, de nombreuses plantes peuvent être préconisées.

C’est le cas par exemple de l’achillée millefeuille qui est une plante incontournable pour réguler le cycle menstruel notamment en cas de cycles irréguliers, ou encore de l’armoise, de la dong quai et du framboisier.

3. La gestion du stress

En cas de stress, le cortisol, l’une des hormones du stress, va contribuer encore un peu plus au déséquilibre hormonal déjà présent dans le cas du SOPK.

De nombreux outils pourront alors être proposés comme la pratique de la cohérence cardiaque, de la sophrologie, ou encore de l’olfactothérapie qui mêle les bienfaits des techniques respiratoires et des odeurs des huiles essentielles.

4. L’activité physique

L’activité physique est cruciale pour rester en bonne santé mais surtout pour maintenir notre équilibre hormonal. Elle peut permettre d’atténuer de nombreux symptômes liés au syndrome des ovaires polykystiques.

Par ailleurs, elle permet un meilleur fonctionnement du système immunitaire, un meilleur transit intestinal, améliore le système cardio-vasculaire, et produit des endorphines (des molécules qui déclenchent une sensation de bien-être et de bonheur).

L’Organisation Mondiale de la Santé recommande de pratiquer 1h15 d’activité soutenue par semaine ou 2H30 d’activité à intensité modérée. Marcher 30 minutes d’un bon pas tous les jours est déjà un excellent début. 

Pour en aller plus loin : Accompagnez votre SOPK au naturel : cycle menstruel, fertilité, alimentation, perturbateurs endocriniens... une approche naturopathique du syndrome des ovaires polykystiques de Céline Hovette aux éditions Jouvence

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