En réponse à la chronique de l'ASEF du 11 février, "Faut-il vacciner les enfants ?", nous laissons la parole à Didier Lambert, président de l'E3M, l'association d'Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages.
La question du double risque (se faire vacciner et risquer une pathologie neurologique, ou ne pas se faire vacciner et risquer par exemple un tétanos) est une question humainement insupportable. De quel droit fait-on subir cela aux jeunes parents qui se doivent de protéger leurs enfants ?
Les travaux menés depuis 20 ans par une équipe française (INSERM U955) permettent de mieux comprendre le lien entre aluminium vaccinal et pathologies neurologiques (dont la myofasciite à macrophages). Il est maintenant admis par l’ensemble de la communauté scientifique que, lors de l’injection de vaccins aluminiques, une partie de cet aluminium migre dans l’organisme pour atteindre le cerveau. Rappelons que cet aluminium est neurotoxique, et, comme le reconnaissait Marisol Touraine dans un courrier adressé à l'E2M, probablement cancérigène et perturbateur endocrinien. Les conséquences de cette accumulation d’un neurotoxique dans le cerveau? Nul ne le sait… Car il n’existe pas de pharmacovigilance digne de ce nom. Mais de nombreux scientifiques (dont le plus grand spécialiste international des maladies autoimmunes) alertent les pouvoirs publics.
Il est urgent, et la très prochaine loi de santé publique doit le prévoir explicitement, que la recherche soit massivement et rapidement financée, et que des vaccins sans aluminium soient mis à disposition du public. Car des alternatives existent.
En attendant ? La vaccination est un acte médical qui ne peut être banalisé. Il est au contraire nécessaire qu’il soit individualisé, dans le cadre d’une relation de confiance entre un médecin et son patient. Le médecin traitant doit rester le prescripteur de toute vaccination, et tenir compte du bénéfice-risque propre à chacun.
Sur Internet : Association Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages