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Chronique livre : Les maladies des ondes

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Lea Durupt
Lea Durupt
Mis à jour le 25 février 2021
Dans le livre "Les maladies des ondes, électrosensibilité, fibromyalgie, fatigue chronique, comment s’en préserver", le Docteur Gérard Dieuzaide détaille les diverses sources de perturbations électromagnétiques, leurs conséquences sur notre santé, et offre des solutions concrètes à appliquer quotidiennement pour s’en protéger.

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« Au vu des faits que j’expose dans ce livre, il n’existe pas selon moi d’autre choix : toute matière posée dans ou sur le corps humain, quelle que soit sa nature, doit être au préalable testée afin de vérifier sa compatibilité électromagnétique avec celui-ci. C’est donc en quelque sorte une révolution culturelle qui s’impose à nous ».

Une nouvelle approche de l’électrosensibilité
Le terme d’électrosensibilité (ou électrohypersensibilité EHS) est désormais rentré dans le langage courant. Il désigne la sensibilité ressentie par certaines personnes au smog électromagnétique ambiant. Les électrosensibles souffrent de multiples symptômes : fibromyalgie, fatigue chronique, maux de tête, douleurs diffuses, problèmes de concentration, vertiges, troubles du sommeil, sensation d'oppression, troubles du rythme cardiaque, troubles neurodégénératifs, dépressions pour ne citer que les plus connus.
Cet ouvrage va au-delà de la sensibilité aux ondes extérieures en introduisant la notion de « chimiosensibilité », c'est-à-dire l’électrosensibilité liée aux effets vibratoires des matières chimiques que nous portons.

Le corps est électrique et magnétique
Depuis les travaux du Professeur Luc Montagnier notamment, on a pu démontrer que des substances liquides diluées jusqu’à ne contenir aucun matériel génétique d’origine (comme une dilution homéopathique) sont porteuses d’une information. L’eau absorbe et retient les informations sous forme électromagnétique… et peut les restituer en temps voulu.

On peut ainsi en déduire que notre corps est à la fois électrique et magnétique : les réactions chimiques qui y sont à l’œuvre sont induites par des forces électromagnétiques. En d’autres termes, c’est l’onde qui commande à la particule, car ce sont les signaux vibratoires informationnels qui sont les donneurs d’ordre de la molécule.
Si une information parasite est véhiculée dans le corps, cela peut avoir des effets physiologiques, comportementaux, biochimiques, et surtout épigénétiques (concernant l’ADN et le génome, donc potentiellement transmissibles par hérédité) non sans conséquence.

Nous pouvons être bio-incompatibles aux ondes émises par les objets du quotidien
Pour les auteurs, tous les matières et matériaux que nous portons en nous et sur nous - lunettes, prothèses, étiquettes de vêtements, bijoux, stérilets, cosmétiques, miroirs par exemple - émettent un rayonnement électromagnétique. Ce rayonnement dépend de la composition chimique de la matière. C’est la dimension ondulatoire ou énergétique de la matière solide et tangible. Le rayonnement est en quelque sorte l’écho ou le reflet électromagnétique de sa composition chimique.

Or, notre corps peut ne pas supporter ces signaux électromagnétiques, c’est ce que l’on appelle une bio-incompatibilité électromagnétique. Chacun est, bien entendu, plus ou moins susceptible d’être électrohypersensible, en fonction de 3 facteurs : la susceptibilité d’une personne (sa capacité à réagir à une information), le phénomène de résonance (on a tous un système oscillatoire propre qui résonne différemment), et la durée d’exposition. En cas d’exposition à de multiples objets et prothèses, l’interférence entre les différents rayonnements peut même provoquer un effet cocktail ondulatoire.

Ce sont les ondes parasites qui nous crispent
La théorie de M. Dieuzaide est fondée sur une constatation empirique dans son activité de posturologue. Sa méthode est expérimentale : les tests cliniques concernent 100% de ses patients, et les résultats observés sont systématiques, répétitifs et reproductibles. Il s’est avéré que tous les tests posturaux effectués sur ses patients montraient des modifications sur le corps au contact de la matière incriminée. La déduction logique qui en est faite est sans appel : tous les électrosensibles connaissent une augmentation de la spasticité musculaire (une contraction ou tension musculaire) de leurs muscles toniques réflexes, ceux qui nous permettent de tenir debout. En temps normal, la contraction du muscle est commandée par une information électrique venue du neurone et transmise par le nerf jusqu’au muscle. C’est cette information que les champs électriques et électromagnétiques environnementaux perturbent, excitant les neurones qui transmettent alors un influx nerveux parasite. Cette information électrique parasite provoque une contraction involontaire des muscles.

Plus spécifiquement, 9 points ont été constatés à chaque test :
- Tensions musculaires induites (combinées à un ou plusieurs symptômes traditionnels de l’électrosensibilité cités plus haut) au contact de la matière qui est bio-incompatible
- Les muscles touchés sont les muscles extenseurs qui nous permettent de vivre et de tenir droit, autrement appelés « système tonique réflexe »
- La vision a une influence de la vision sur la sensibilité (l’interférence a lieu avec des objets qui rentrent dans notre champ de vision sans qu’ils soient physiquement sur nous)
- Détente musculaire immédiate si le matériel est éloigné du corps
- Certaines matières sont neutres (une matière peut être neutre pour quelqu'un et incompatible pour une autre)
- Les champs électromagnétiques environnementaux (ordinateurs, wifi…) amplifient les sensibilités.
- Il existe des zones blanches, zones moins chargées qui abaissent les tensions musculaires.
- La mise à la terre entraine une très forte détente musculaire.
- Certaines informations vibratoires sont neutralisantes. Leurs particules de certaines huiles essentielles, plantes et graines (ail des ours, coriandre, origan, ortie) peuvent capter les particules subatomiques et créer un champ assez puissant pour contrer les nuisances électromagnétiques. Ce sont des contre-ondes, des protections vibratoires ou des antidotes passagers aux incompatibilités

Alors…on fait quoi ?
Oui, on fait quoi ? On enlève tous nos plombages et on met du neuf ? Et bien pas forcément…
L’auteur, dentiste confirmé, met en garde contre certains médecins conventionnels et thérapeutes dits « alternatifs » qui préconisent de remplacer les amalgames en mercure et en alliages métalliques par des composites et des plastiques. Or, ces matières peuvent être tout aussi dangereuses pour la santé, par interférence, résonance, exposition chronique ou exposition permanente électromagnétique.
Plutôt que d’enlever tous composants métalliques sans distinction, il préconise de tester les matériaux incriminés par une série de tests posturaux, afin d’évaluer le degré d’incompatibilité, le cas échéant. Même méthode en amont de la pose d’un implant ou d’une prothèse, il est conseillé de tester sa bio-compatibilité avant la mise en bouche.

Il existe des solutions quotidiennes !
Il peut évidemment nous être impossible de nous défaire de certaines prothèses ou de certains objets du quotidien qui pourraient avoir un impact négatif sur notre santé. Il existe dans ce cas des solutions concrètes et faciles à appliquer pour se protéger des effets électromagnétiques des objets et prothèses que l’on porte.
Alors pas d’inquiétude et lisez les derniers chapitres dans lesquels vous y apprendrez notamment comment utiliser certaines pierres (shungite, tourmaline), plantes (cactus cereus peruvianus, crassula ovata, lavande) et types de musique. Vous découvrirez également de précieux conseils, pièce par pièce, pour créer ou améliorer un habitat électro-sain, en réduisant les ondes électromagnétiques à l’intérieur et en se protégeant des rayonnements extérieurs (vitres, voilages, peintures, matériaux de construction, mise à la terre…).
 

Les maladies des ondes, électrosensibilité, fibromyalgie, fatigue chronique, comment s’en préserver
Docteur Gérard Dieuzaide, avec la participation de Christian Bordes, Editions Dangles, 2014
Préface du professeur Dominique Belpomme, postface du professeur Henri Joyeux

 

Notre contributrice 

Léa Durupt est l'auteure du blog Je bénis l'inventeurcontributrice au blog participatif Vivremieux ! et co-animatrice sur Radio Médecine Douce.

Retrouvez Lea Durupt pour sa chronique sur Radio Medecine Douce

Toutes les chroniques de Lea sont sur sa page Facebook

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