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Zoom sur le soutien-gorge

Mis à jour le 25 février 2021

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Dès 1995, le docteur Sydney Singer de l'Institut pour l'Étude des Maladies culturogénétiques publie les résultats d’une étude faite sur près de 4 600 femmes ; la moitié d'entre elles avaient un cancer du sein.

On y découvre que le risque de cancer du sein est 125 fois plus élevé chez les femmes qui portent leur soutien-gorge 24 heures sur 24 que chez celles qui n’en portent jamais et 113 fois plus élevé que chez celles qui le portent moins de 12 heures par jour.

En effet, toute modification des courbes naturelles des seins entraîne une compression et freine la circulation naturelle du système lymphatique - réseau interne de vaisseaux qui débarrasse l’organisme des déchets.

Si aucune autre étude ne va dans ce sens depuis, par mesure préventive on retiendra qu’il faut porter un soutien-gorge adapté, à la bonne taille, qui ne comprime pas, et ne pas le garder la nuit. Mieux vaut prévenir que guérir.

Le soutien-gorge et le cancer du sein : une lingerie de séduction dangereuse ? de Sydney Ross Singer et Soma Grismaijer, éditions Vivez Soleil.

Anne-Sophie Luguet-Saboulard

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