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Remarques sur l'étude de la London School of Hygiene and Tropical Medicine

Mis à jour le 25 février 2021

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Les chercheurs ont choisi de travailler à partir des études existantes rédigées en langue anglaise, parues entre le 1er janvier 1958 et le 28 février 2008, en se focalisant sur les nutriments les plus couramment traités dans les articles et études. Sur 52 471 articles trouvés, les chercheurs ont identifié 162 études dont « 55 de qualité satisfaisante », à partir desquelles ils ont mené leur analyse. Les conclusions de l’étude montrent qu’il n’y a pas de preuves tangibles d’une différence de qualité nutritionnelle entre les aliments bio et les aliments non-bio.

Il convient souligner que les chercheurs  travaillent sur des documents qui n’ont pas forcément été publiés dans une même logique de travail que celle qui a animé l’équipe de la London School of Hygiene and Tropical Medicine.

Plus gênant, les chercheurs ont laissé de côté tous les articles parus qui n’étaient pas rédigés en anglais. Ils passent donc à côté d’une grande littérature sur le sujet. Par exemple, l’INRA a travaillé sur cette question, et démontre le contraire des résultats de l’enquête britannique sur l'exemple précis des pêches.

Lire l'article sur la polémique sucitée par la publication de l'étude.

Lire le résumé de l'étude sur The American Journal of Clinical Nutrition (en anglais)

Claire Sejournet

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