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Effets secondaires, règles, contraception sans hormones : ce qu'il faut savoir quand on arrête la pilule

Contraception gratuite pour les moins de 25 ans
Reproductive Health Supplies Coalition/Unsplash
Editions Jouvence
Par Editions Jouvence
Publié le 16 juin 2022

De nombreuses femmes souffrent des effets secondaires de leur contraception ou souhaitent tout simplement renouer avec leur cycle naturel. Mais arrêter la pilule soulève beaucoup de questions et de peurs, qui sont bien légitimes. Dans cet article, notre spécialiste du cycle féminin Eugénie Tabi vous donne ses meilleurs conseils pour réussir cette transition en toute sécurité.


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La pilule, et les contraceptions hormonales en général, peuvent être à l’origine d’effets secondaires variés, et plus ou moins graves. Cela pèse dans votre vie quotidienne, et dans votre vie de couple aussi. Après l'arrêt de votre contraception, il est important de pouvoir continuer à gérer votre fertilité, et ne pas tomber enceinte de façon indésirée. Il existe des options sans hormones, et des petites choses à savoir pour bien se préparer à cette nouvelle vie.

1- Identifiez les effets secondaires

Vous souffrez peut-être de maux de tête, prise de poids, sécheresse vaginale ou mycoses, baisse ou absence de libido, état dépressif… Ce n’est pas parce que ces effets indésirables sont courants qu’ils sont normaux ! D’autres effets plus graves peuvent survenir (phlébite, thrombose, méningiome…) c'est pourquoi il convient de rester vigilante et informée.

Vous pouvez faire part à votre médecin généraliste, gynécologue ou sage-femme, de votre volonté d’arrêter votre contraception et des effets secondaires rencontrés, afin que ceux-ci cessent d’être banalisés. Vous pouvez également les déclarer sur le site du gouvernement, même s’il s’agit d’une simple suspicion. Cela vous donnera autant de motifs de l’arrêter !

2 - Arrêter en toute sécurité

Quel que soit le type de contraception hormonale que vous utilisez, vous n’êtes plus protégée dès le premier jour où vous l’arrêtez. Pensez à communiquer l'information à votre partenaire le cas échéant, afin que vous puissiez prévoir d’autres alternatives. Attention avec le retrait, ou coït interrompu, qui a un taux d’échec proche de 20%.

Vous pourriez aussi être tentée d’utiliser des appli calendriers, qui vous donnent des prévisions d’ovulation et de règles. Malheureusement, cette méthode de comptage des jours ne tient pas compte de plusieurs paramètres importants : le cycle féminin est variable et l’ovulation peut être influencée par des événements de vie : déménagement, période de stress, examens, vacances… ou l’arrêt de la contraception hormonale. N’hésitez pas à vous faire accompagner, par une naturopathe spécialisée par exemple, pour aider votre cycle à se réguler.

3 - Choisir une contraception sans hormones

Très souvent, les femmes se tournent alors vers le stérilet au cuivre. Mais il est parfois source d’effets secondaires lui aussi. Votre médecin peut vous prescrire des préservatifs, ou un diaphragme par exemple, qui sont remboursés. Ces dispositifs barrière sont à utiliser à chaque rapport.

Si vous voulez vous reconnecter d’avantage à votre cycle, vous pouvez opter pour la symptothermie. Cette méthode est aussi fiable que la pilule, à condition d’être formée. Vous apprendrez à lire vos signes de fertilité et à identifier vous-même vos périodes fertiles et infertiles.

Les contraceptions masculines commencent aussi à se faire connaître. Cela peut être l’occasion d’en discuter avec votre partenaire, car la contraception, comme la sexualité, est finalement l’affaire des deux personnes !

Pour en savoir plus : "La pilule contraceptive, c'est fini" d'Eugénie Tabi, paru aux éditions Jouvence (8,90€)

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